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Chronique d'un autre temps
9 décembre 2013

Que savons nous réellement?

Je lis, relis et rerelis ce qui se raconte un peu ici et ailleurs sur la toile.

Tout et son contraire, les complots, les manipulations, les révoltes, les avancées technologiques et spirituelles.

Mais que savons nous réellement de ce qui se passe?

Rien, absolument rien pour la majorité d'entre nous.

Inondée par mille et unes informations, le chercheur et le lecteur fini par lui même se perdre! Il croit chercher, il croit trouver?

Mais quoi? Oui quoi?

En fait pas grand chose lorsque nous voyons que finalement peu de choses se font au coeur de nous.

Non, nous suivons des mouvements, parce que nos pensées adhèrent à telle ou telle, chose c'est tellement plus facile de croire en ce qu'on nous raconte, plutôt que d'aller en ce centre de nous même qui crie lui sa vérité, qui essait de nous montrer ce que nous devons voir.

Aller hop, la lutte contre l'égo, la grande mode du moment.

Mais qu'est ce que l'égo?

Ce que vous avez lu, ce qu'on a raconté?

Vous est il déjà venu à l'idée de l'écouter parler, sans le juger, pour comprendre ce qu'il voulait?

Vous est il déjà venu à l 'esprit qu'il était peut être votre ami, qu'il pouvait vous apprendre des choses de vous même et par là même vous amenez à vous dépasser.

Pensez vous qu'il a été crée uniquement pour être combattu?

 

Rire, pleurer, parfois je ne sais plus. 

Où allons nous?

Homme le sais tu?

Et que sais tu réellement?

Je t'en prie réponds moi!

 

Yesa

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Commentaires
Y
J'aime beaucoup de message, détaillé et qui je l'avoue défend de bien belles idées.<br /> <br /> <br /> <br /> Merci
T
Ce que les gens appellent Dieu est la Conscience Initiale. Laquelle a 2 aspects.<br /> <br /> D’une part: un «Rien du tout» (qui est quand même quelque chose).<br /> <br /> D’autre part: un «quasi rien» (grâce auquel le «Rien du tout» peut tout).<br /> <br /> <br /> <br /> Dire le «Rien du tout» n’a de sens que si l’on se place au niveau matérialiste. Prenons n’importe quelle abstraction: la liberté, la justice, etc. Peut-on les couper en tranches concrètement mesurables: poids, taille, couleur, composition chimique, structure nucléaire, densité, masse, etc.? Pour ces idées, des humains peuvent néanmoins mourir. Elles comptent mais ne se réduisent pas à des dimensions quantifiables.<br /> <br /> Pensons aussi aux règles géométriques, à la suite des nombres premiers, etc. Rien de concret, tant qu’elles ne servent pas à résoudre des problèmes pratiques.<br /> <br /> Il en ressort que les idées pures, aux yeux d’un expérimentateur de labo, sur le plan du mesurage, égalent: rien du tout.<br /> <br /> <br /> <br /> Dès sa conception, la conscience assure l’existence de l’être terrestre qui lui échoit en le conduisant à tuer d’autres êtres, par nécessité. Période durant laquelle les «scrupules» ne servent à rien. Tenir pour coupables les tueurs serait inapproprié.<br /> <br /> Au fil du temps, le psychisme des individus évolue. Leur sensibilité augmente peu à peu. La conscience instille des rudiments moraux qui transforment les groupes. La notion de «mal» apparaît.<br /> <br /> Afin d’obtenir ce qu’il convoite, l’individu sans principes se comporte comme un tricheur et/ou une brute. Les mêmes mobiles s’observent partout dans le monde: nourriture, terres, troupeaux, femmes, esclaves, armes, propriétés, position sociale, richesses, pouvoir… Renforcés par les mêmes dysfonctionnements psychiques: volonté de nuire, désir de vengeance, orgueil démesuré confinant à l’hubris, démence, perversité…<br /> <br /> Le summum du mal est la cruauté. Elle devient le rêve insurpassable du démon quand on la met au service d’un «idéal»: faire le mal au nom du bien, y a pas plus jouissif. Doctrinaires mabouls et religieux obscurantistes s’en font une spécialité.<br /> <br /> <br /> <br /> Séparer irréversiblement la Conscience Initiale de la conscience humaine permet d’octroyer à l’homme le plus grand des cadeaux que puisse lui faire la C.I., sa liberté. Une liberté totale.<br /> <br /> Ce cadeau ne se refuse pas. Il se paye au prix fort. Il se reçoit avec gratitude.<br /> <br /> Fort de sa liberté, l’homme a le droit d’ignorer la Conscience Initiale. Rien ne l’empêche de commettre les pires abjections.<br /> <br /> <br /> <br /> En ignorant la Conscience Initiale, en s’adonnant aux pires abjections, l’homme subit, tôt ou tard, les conséquences de son ignorance, de ses manquements.<br /> <br /> La méconnaissance de la C.I. entraîne une frustration mentale chez l’homme livré à l’incompréhension d’un monde où se perd son destin.<br /> <br /> Les manquements aux lois du bien entraînent, un jour ou l’autre, diverses catastrophes, facilitées par l’inconscient, destinées à broyer l’ego «buggé».<br /> <br /> <br /> <br /> Le mal n’est pas extérieur à l’homme. Le diable ou les démons, en vue de tourmenter l’humanité, ne le fabriquent pas de leur propre chef dans quelque chaudron fumant d’un enfer torride.<br /> <br /> Pour que le mal existe, il faut une contribution des egos «buggés», lesquels ont forcément amorcés la pompe, à un moment ou à un autre. Ensuite, l’implacable processus suit son cours.<br /> <br /> On pourrait comparer ce mécanisme à une maladie. Tant que l’organisme se conforme aux règles de la bonne santé, les agents pathogènes demeurent à l’état potentiel. Si l’individu transgresse les contraintes sanitaires, la maladie se déclare.<br /> <br /> Dans un tel cas, la conduite inadaptée provoque le mal, pas l’organisme.<br /> <br /> Ne voyons donc pas en les démons une cause mais un facteur annexe qui permet de matérialiser la scélératesse du mental malsain.<br /> <br /> <br /> <br /> Tout humain a un (une) fiancé qui l’attend au-delà de la mort. Cet être non terrestre, unique, a une affinité indissoluble avec son cavalier (sa cavalière). Elle lui fut prédestiné(e) dès l’origine.<br /> <br /> Le séducteur (la séductrice), qui collectionne ses conquêtes, sur terre, ne fait que la (le) rechercher à travers sa quête perpétuelle, jamais satisfaite.<br /> <br /> De cette personne réservée à une seule autre, et réciproquement, on peut dire ceci. Celle, celui qui la trouve ne voit plus que lui (elle), Tout lui plait en lui (elle). Les autres hommes (femmes) ne peuvent désormais rivaliser. En comparaison, ils sont sans éclat. Ils ne suscitent même plus aucune attirance physique.<br /> <br /> Entre les membres de ce couple béni par les forces divines, l’attraction jamais ne décroît, l’éternité durant.<br /> <br /> <br /> <br /> Chaque demi-dieu compose un tout avec son partenaire humain. Une fois réunis, les amants célestes forment un couple de danseurs éternels. Aucun geste discordant ne perturbe le mouvement d’ensemble.<br /> <br /> Union ne signifie pas fusion. Laquelle causerait la dissolution de chaque conscience singulière en un magma psychique ayant peu d’intérêt. Outre que cet assemblage jouirait d’une trop grande puissance. D’antiques récits mythiques parlent d’êtres féroces et destructeurs, à la force démesurée, causant d’effroyables catastrophes, qu’il fallut sectionner.<br /> <br /> Toujours, partout, une puissance excessive se transforme vite en ennemie de la sagesse.<br /> <br /> Dans un couple, l’altérité autorise une infinité de situations inattendues et captivantes. Les dieux en sont friands.<br /> <br /> <br /> <br /> Le Un ne peut qu’être un.<br /> <br /> Quand plusieurs uns coexistent, ils ne savent que s’affronter. <br /> <br /> Les uns ne sont pas faits pour vivre à plusieurs.<br /> <br /> Le Un le compris, c’est pourquoi Il transforma les uns en deux.<br /> <br /> <br /> <br /> Savoir vivre définitivement en bonne entente avec tous les autres êtres nécessite un minimum de savoir. Autrement dit: la connaissance des souhaits de la Conscience Initiale.
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