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Chronique d'un autre temps
27 octobre 2012

L'absence en nos coeurs

Parfois nous nous sentons seuls, abandonnés,

Nous demandant où Dieu a-t-il bien pu passer,

Alors que nous sommes si mal, 

Que nous nous sentons si misérables...

Est il vraiment parti ou alors avons juste tirer le rideau sur nos coeurs.

J'en ai eu des discussions avec l'invisible,

Tellement que je ne les compte plus,

Le temps passe,

J'ai perpétuellement des doutes mais je ne peux m'empêcher de leur parler...

Curieux nous sommes nous les humains.

Jamais de ma vie, je n'ai eu d'aussi belles paroles que les leurs,

Jamais on ne m'avait traité avec autant d'amour

Jamais on ne m'avait prodigué autant de douceur,

Jamais on ne m'avait autant parlé d'espoir.

Et Moi humaine, 

Quelle était ma réponse?

Les doutes, encore et encore,

Demandant pourquoi ils parlaient à une misérable comme moi.

Oui je le dis, en toute simplicité, je n'ai jamais compris pourquoi ils me disaient toutes ces choses à moi,

Moi qui ne suis rien, qui ne peux rien,

Moi qui ne comprends pas toujours tout ça,

Mon petit moi qui est perdu dans le flots de sensation,

Le petit moi noyé sous l'émotion,

Le petit moi demandant mais comment puis je connaitre toutes ces choses,

Le petit moi se sentant toujours petit moi...

Et pourtant Je sais que tout n'est qu'amour, 

Alors encore mon petit moi, a honte,

Honte de ne savoir recevoir simplement les mots et dire merci.

Honte, et la spirale recommence,

Indigne de...

Mais la belle pensée qu'il me communique encore, 

Panse mille et une plaie!

Pour nous parents nos enfants sont tout, nous les aimons,

Même si eux ne pensent pas toujours du bien d'eux,

Ne sont pas fiers d'eux,

Ne pensent pas pouvoir réussir,

Nous parents nous gardons espoir.

Car nos enfants sont nos enfants,

L'amour que nous leur portons est inexplicable,

Pas toujours exprimable, 

Il est juste là en nous.

Et malgré les moments difficiles,

Les moments où ils se pensent seuls, 

Les moments où ils sont malheureux,

Qu'ils pensent qu'on ne les comprends pas,

Nous parents, nous restons là pour qu'au moindre appel,

Nous puissions intervenir avec tout l'amour que nous avons.

 

Tendresse

Yesaelle

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